Voici les deux expérimentations que nous avons effectuées afin de compléter notre projet environnemental sur la crème solaire.
Premièrement, comme nous l’avons mentionné précédemment dans l’article 1, nous avons expérimenté avec un «skin scanner», qui est un appareil servant à observer la peau sous un filtre ultraviolet, permettant ainsi de constater les dommages du soleil sur la peau, qui ne sont pas visibles à l’œil nu. Cette technologie est également utilisée pour démontrer la différence de protection sur la peau entre une crème solaire comportant des produits chimiques et une crème solaire composée de produits biologiques. Il y a quelques mois, nous avons eu la chance d’aller visiter le C.F.P. Limoilou, où nous avons eu une présentation en détail sur les cosmétiques, tels que le maquillage, la crème épilatoire et la crème solaire, qui est notre sujet de présentation. Madame Geneviève Biron, enseignante et responsable du secteur d’esthétique au C.F.P. Limoilou, nous a appuyées dans notre recherche en nous exposant les alternatives d’écrans solaires à utiliser afin de remplacer les crèmes solaires du commerce, qui sont pour la plupart nocives pour l’environnement.
Nous avons donc pu tester le « skin scanner » sur place, où il a été possible d’observer la différence entre l’application d’une crème saine pour l’environnement et celle faite avec des produits chimiques. Lors de l’application de la crème composée de produits biologiques , nous avons pu voir la coloration sur la peau avec les rayons ultraviolets. En effet, où nous avions appliqué le soin solaire, la peau devenait d’un mauve foncé, démontrant ainsi son efficacité à contrer les rayons du soleil. C’était très intéressant à constater, puisque lorsque nous retirions notre visage du «skin scanner», notre peau n’était évidemment pas devenue violette!
Deuxièmement, comme deuxième expérimentation, nous avons badigeonné une de nos mains avec de la crème solaire néfaste pour l’environnement, et l’autre avec un soin solaire écologique. Par la suite, une à la fois, nous avons trempé nos mains dans des bols d’eau propre. Voici ce qui s’est passé : avec la crème solaire chimique, l’eau se colorait de blanc, signifiant que la crème ne reste pas sur la peau, et qu’elle contamine ainsi les océans lorsque nous nous y baignons avec ce type d’écran solaire. Avec la crème solaire écologique, c’était tout le contraire : l’eau était parfaitement claire, sans aucune trace blanche. L’eau semblait même couler sur notre main, comme si la crème solaire repoussait l’eau. Cette expérience nous a donc permis de prouver notre point, car nous avons constaté que l’écran solaire contenant des produits biologiques ne se dissout pas dans l’eau, ne nuisant pas ainsi aux organismes aquatiques!