De nos jours, les thèmes de l’alimentation et de l’environnement ont beaucoup d’importance. Malgré tout, peu de personnes abordent ces sujets d’un point de vue objectif. C’est pourquoi nous avons choisi de les aborder. La majorité de la population panique de plus en plus par rapport aux enjeux environnementaux, plus précisément par rapport aux changements climatiques, mais devrait-elle avoir peur? L’alimentation est vitale pour nous, il est donc normal de s’inquiéter par rapport à celle-ci . C’est donc un sujet qui nous touche tous, car elle a de nombreux impacts sur notre mode de vie et notre consommation. Aussi, certaines personnes décident d’encourager les productions locales, mais cela devient plus difficile s’il y a eu une mauvaise saison de récolte. Ils sont donc obligés de consommer des produits étrangers. Dépendamment des produits locaux disponibles, nous n’achèterons et ne mangerons pas les mêmes choses, donc s’il n’y a pas de revenus agricoles à cause de phénomènes météorologiques extrêmes, plus personnes ne peuvent se fournir en produits locaux. De plus, nous connaissons des gens qui travaillent en agriculture avec des serres, donc cela nous a poussé à vouloir mieux comprendre la raison de l’utilisation de ces techniques en lien avec les changements climatiques.
Les conséquences de la hausse ou de la baisse de températures sur les terres agricoles d’ici peuvent affecter les récoltes ou même les annuler complètement. Les changements climatiques sont une thématique actuelle qui ont un grand impact sur de nombreuses familles cherchant à acheter local pour encourager les producteurs du Québec. Ils influencent aussi ces producteurs cherchant à gagner leur vie avec leurs récoltes. Si les températures sont mauvaises, les rendements agricoles seront moins bons, donc les agriculteurs auront moins de produits à vendre et de revenus. Il y aura aussi une rareté parmi les produits de consommation locaux, donc les prix de ces aliments augmenteront, ce qui peut être fatal pour les familles ayant des budgets plus serrés. Depuis 2001, plusieurs années record ont eu lieu par rapport à la chaleur, particulièrement dans ces dernières années. Nous avons observé une hausse de températures intenses et de phénomènes météorologiques extrêmes partout dans le monde, tels que des ouragans ou de la sécheresse. Par exemple, selon Météo média, au Québec, en 2023, c’était l’été le plus pluvieux depuis 1967 avec 504 mm de pluie! C’était aussi un des été les plus gris avec des temps ensoleillés entre 340 et 370 heures à Montréal et entre 270 et 300 heures de soleil à Québec ce qui veut dire qu’environ la moitié de l’été était ennuagé!
Évidemment, il existe des solutions pour ce problème. Déjà plusieurs personnes, pas seulement au Québec, mais partout dans le monde, en partagent avec les agriculteurs en difficulté. Parmi ces solutions, on retrouve l’utilisation des serres, l’encouragement de l’achat des producteurs d’ici, de l’agriculture sur les toits des immeubles et même des nouvelles technologies qui permettent de cultiver dans l’eau! Par exemple, les serres permettent de cultiver des plantes et des aliments à la température désirée, ce qui est très pratique pour continuer les plantations durant les durs hivers froids du Québec. En conséquence, notre expérimentation consiste à faire pousser des plantes à l’intérieur d’une maison comme si elles étaient dans une serre puisqu’il est impossible d’en faire pousser à l’extérieur durant l’hiver. Avec celle-ci, nous souhaitons démontrer que les serres sont une bonne piste de solution pour aider les plantes à mieux pousser. Nous voulons prouver que n’importe qui, même avec un très mince budget, peut faire pousser des végétaux dans un endroit fermé, comme dans un sous-sol. Nous voulons aussi montrer l’impact des mauvaises conditions météorologiques sur les fruits, les légumes ou les céréales produits durant la saison agricole. Nous croyons faire pousser des plantes dans une serre est une bonne alternative, mais que cela apporte certains désavantages. Par exemple, une serre demande beaucoup d’énergie, est une source de pollution lumineuse et les maladies de plantes et les nuisibles tels que les pucerons s’y propagent plus facilement. Malgré les changements climatiques, nous croyons que nous pouvons continuer de cultiver comme avant en utilisant des moyens comme ceux mentionné plus tôt dans le texte. C’est ce que nous pensons découvrir et prouver avec notre expérience.
Médiagraphie :
AUCUN AUTEUR , Indice des prix des produits agricoles , juin 2023, Statistique Canada, https://www150.statcan.gc.ca/n1/daily-quotidien/230907/dq230907d-fra.htm (16 octobre 2023)
AUCUN AUTEUR, l’impact des changements climatiques sur l’agriculture québécoise: Adaptation et solution innovantes, Élevage & Culture, https://elevageetcultures.ca/environnement/2023/limpact-des-changements-climatiques-sur-lagriculture-quebecoise-adaptation-et-solutions-innovantes/#:~:text=Certaines%20esp%C3%A8ces%20de%20plantes%20sont,pertes%20importantes%20pour%20les%20agriculteurs. (8 novembre 2023)
FRANCIS BRIÈRE, Été 2023 : une saison qui sera historique au Québec , Météo média, https://www.meteomedia.com/fr/nouvelles/meteo/previsions/ete-2023-une-saison-historique-au-quebec (8 novembre 2023)