Les sécheresses ont plusieurs conséquences environnementales sur notre planète. En effet, elles détruisent les récoltes et affectent les agriculteurs du Québec. Nous avons donc expérimenté une solution réaliste afin de résister aux sécheresses dévastatrices du territoire québécois. Notre expérimentation, une expérience gustative qui consistait à tester deux sortes de fraises provenant de différents endroits dans le monde, dont la Californie et le Québec, afin de les comparer et de connaître celle qui a le meilleur goût selon leurs conditions de plantation différentes, dont l’une a poussé en terre et l’autre dans des serres québécoises. En effet, à la suite de l’expérimentation, nous avons pu constater que les fraises ayant poussé dans de bonnes conditions et dans des serres étaient meilleures au goût et en apparence physique. Les fraises québécoises étaient beaucoup plus juteuses et rouges que celles de la Californie, qui étaient très pâles et amères. Au cours de la présentation, nous avons exposé une serre avec une plante bien arrosée et bien entretenue à l’intérieur, et une autre qui représentait une plante séchée qui aurait été affectée par les sécheresses du territoire où elles poussaient, représentant également les récoltes qui auraient été affectées par ce phénomène naturel. De plus, nous avons fait déguster deux sortes de fraises différentes afin que le public puisse tenter de trouver celle qui avait poussé en serre au Québec. En effet, la dégustation a été un succès, car non seulement le public était capable de trouver la bonne sorte, mais aussi les gens étaient très impressionnés par le bon goût sucré de la fraise québécoise.
Nous avons effectué beaucoup de recherches lors de notre expérimentation, comme la présentation des fraises que nous avons fait déguster, ainsi que la quantité nécessaire pour que le plus de personnes puissent avoir un échantillon sans pour autant gaspiller. Nous avons également abordé le sujet du prix, car nous disposions d’un budget limité de 20 $. Il était donc difficile de trouver une grande quantité de fraises et une serre tout en respectant cette limite qui nous avait été donnée. Nous avons finalement pris la décision de ne pas dépasser le budget alloué et d’opter pour un casseau de chaque sorte de fraises, à savoir celles du Québec (les Savoura) et celles de la Californie (les Driscoll’s). Les fraises du Québec étaient un peu plus chères, mais elles en valaient clairement la peine. Les fruits ont été coupés le matin même de la présentation pour avoir un meilleur aspect visuel. Selon les personnes qui sont passées à notre kiosque, la différence de goût était assez distincte et elles étaient très surprises, ce qui correspondait à nos attentes suite à nos recherches sur les conditions dans les serres et dans les champs. Notre dégustation a donc été un grand succès pour tous.
À la suite de notre expérimentation, nous avons appris plusieurs avantages de la cultivation en serre, par exemple, même s’il fait une chaleur extrême et que celle-ci assèche énormément les terres pendant l’été, le mieux à faire est de placer la plante en cultivation dans une serre et de l’arroser régulièrement. Ce qui est important à retenir, c’est que même si la pousse est toujours dans un environnement chaud et sec, le fait qu’elle soit placée dans une serre fait en sorte que la terre conserve l’humidité qui permet à la plante de pousser dans de meilleures conditions. Les serres ont donc beaucoup d’avantages sur l’environnement.
Suite au projet, nous avons appris beaucoup de choses sur les sécheresses. En effet, les impacts de celles-ci sur l’agriculture sont énormes et peuvent affecter plus de personnes que l’on ne pense. La chaleur extrême et le manque d’eau provoquent la mort de plusieurs plantations qui sont très utiles dans l’agriculture de subsistance de certains. L’absence de cet approvisionnement peut engendrer des famines pour certaines populations et la faillite des commerces dans l’agriculture. De plus, nous avons appris que pour résoudre ce problème, les serres sont la solution. En effet, celles-ci permettent aux végétaux de pousser dans un milieu humide sans avoir vraiment besoin de beaucoup d’eau. Les plantes vont donc pousser dans de bonnes terres fertiles, assurant ainsi un bon approvisionnement et préservant l’environnement des terres sèches et non fertiles. De plus, les Québécois devraient commencer à recueillir l’eau de pluie afin de bien approvisionner leurs terres si leur budget ne permet pas d’investir dans une serre pour leur jardin, car cette solution est peu coûteuse et tout aussi efficace.
En conclusion, les sécheresses sont des phénomènes naturels très dangereux pour l’agriculture. Les serres sont donc une solution très écologique qui permettrait de faire pousser les plantations avec moins d’eau et de meilleures conditions grâce à l’humidité que celle-ci procure aux plantes et qui les aident grandement à pousser. Grâce à notre expérimentation, nous avons pu constater et vérifier que, oui, les serres ont un impact sur la croissance des plantes. En effet, la plante ayant poussé dans une serre semblait plus en santé et plus verte que l’autre ayant poussé dans la terre peu arrosée qui représentait la véritable circonstance des plantes en cas de sécheresses au Québec. Le goût et l’apparence physique des fraises étaient donc différents et celles du Québec étaient assurément meilleures étant donné qu’elles ont été bien entretenues dans de bonnes conditions. Afin que les plants continuent ainsi, les bassins de récupération de pluie ainsi que les serres seraient la solution à ces sécheresses au Québec. Des solutions peu coûteuses sont très écologiques pour l’environnement et garantissent la bonne croissance de leurs plantes. Si tout le monde commence peu à peu à utiliser ces solutions, sa perception environnementale des sécheresses changera et il y aura de moins en moins de sécheresses au Québec.
Sources :
https://www.lebulletin.com/actualites/la-secheresse-persiste-au-quebec-119222 Les sécheresses au Québec, le bulletin des agriculteurs, NORMANDIN Céline, publiée le 12 avril 2022
https://www.cieau.com/connaitre-leau/secheresse-comment-agir/#:~:text=Ce%20sont%20en%20effet%20les,’Europe%20du%20Sud%2DEst. La sécheresse : d’où vient-elle et comment agir ?Le centre d’information de l’eau, Auteur inconnu, Date de publication inconnue.
L’observatoire des aliments, Tomates et fraises sous serres chauffées, ni écolo, ni bio,publiée le 25 avril 2019, https://observatoire-des-aliments.fr/qualite/tomates-et-fraises-sous-serres-chauffees-ni-ecolo-ni-bio (image consultée le 10 février 2023)
Speciality Crop Industry, Disaster Areas, USDA, publiée le 20 novembre 2019, image consulté le 10 février 2023, https://i0.wp.com/specialtycropindustry.com/wp-content/uploads/2019/09/dry.heat_.drought.shutterstock_1155281779.jpg?resize=1024%2C683&ssl=1