Aller à l’épicerie, c’est rentrer dans un entrepôt de suremballage. Des sacs de légumes par ci, des pots de desserts par là… On vit dans un monde emballé de plastique, et cela pourrait rapidement aggraver la situation critique de notre planète.
Depuis la nuit des temps, les supermarchés préconisent la surconsommation du plastique, et ce, pour des buts économiques. Malheureusement, l’utilisation excessive de ce produit impacte sur de nombreux aspects de la planète et ses habitants. Non seulement les humains sont affectés, mais des milliers d’animaux et de plantes sont touchés par les conséquences. Face à cela, nous nous sommes posé plusieurs questions qui pourraient nous guider dans ce projet.
Premièrement, nous nous demandions à quel point le plastique est présent dans nos vies, du côté de l’alimentaire. La réponse fut assez simple à trouver. Presque toute nourriture achetée en supermarché normal (type Métro, IGA, etc) est emballée dans une ou plusieurs couches de cellophane et de plastique durci. Certes, les vendeurs cherchent à protéger le produit, ou à le conserver de façon accessible, néanmoins tous ces emballages finissent habituellement à la poubelle, parfois recyclée, mais souvent détruit et facilement en état de nuire. (peut-être ajouter d’autres informations)
Deuxièmement, une des questions les plus fréquentes dans nos discussions fut: «Quelles sont les solutions pour consommer moins de plastique, de façon accessible, pour notre génération?». Après plusieurs minutes de recherches et de délibération, nous en sommes venus à la conclusion qu’il existe plusieurs alternatives réalisables. Le premier moyen écologique que nous avons trouvé était de prioriser le carton. Malgré les failles du système de recyclage au Québec, le carton est moins dommageable et plus facile à recycler que le plastique. Par exemple, vous devriez privilégier le lait emballé dans la boîte cartonnée plutôt que les sacs immenses. Un autre moyen serait d’essayer d’acheter des produits avec le moins de plastique possible. Ainsi, il devrait être commun d’amener en épicerie des sacs réutilisables (entre autres en filet), pour y placer légumes, fruits, herbes, et autres denrées que l’on trouve souvent emballées de sacs non recyclables. Par ailleurs, comme autre moyen, on peut retrouver au Québec et dans plusieurs autres villes des épiceries qui proposent d’emmener vos propres emballages. Le principe est souvent simple. Vous amenez vos récipients, vous les remplissez, pesez, payez, et c’est bon! Le plastique est réduit au maximum, et vos denrées restent en bonne condition.
DÉFI DU MOIS DE JANVIER
Notre but serait de réduire notre consommation de plastique est de voir son impact sur nos vies. Pour ce faire, nous nous sommes donné 3 défis :
Utiliser que des bouteilles d’eau réutilisables
La bouteille d’eau en plastique se désintègre après 1 siècle puisqu’elle n’est pas biodégradable. Cependant avant sa décomposition dans la nature, la bouteille à usage unique aura eu le temps de polluer un peu plus notre océan, causer la montée de certaines eaux et bien d’autres encore. Notre bouteille d’eau réutilisable, quant à elle , aura surement les mêmes répercussions dans la nature, mais son utilisation aura été beaucoup plus _____.
Utiliser des sacs réutilisables lors des achats dans les supermarchés et autre
L’espérance de vie d’un sac plastique est de 450 ans. C’est pourquoi prendre un sac en tissu est beaucoup plus écologique qu’ utiliser un sac plastique. Il permet de moins polluer notre planète en plus de permettre une utilisation variée et diverse.
Ne pas manger de « chewing-gum »
Le « chewing-gum », qui est composé de pétrole et d’autres matériaux, prend en général 5 ans avant de disparaître. Sur le point de la surconsommation, ce dernier est le 2e plus gros pollueur dans le monde. Dépassant les cigarettes.
Sources
A SAVOIR : LA DURÉE DE VIE DES DÉCHETS DANS LA NATURE… (lesbrindherbes.org)