Un temps critique pour notre histoire

Qui ne rêve pas de voyager dans toutes sortes de pays ou de faire le tour du monde? Le monde nous offre ses merveilles, autant naturelles que culturelles. Peu importe nos préférences, voyager nous permet de vivre de nouvelles aventures et de découvrir de nouveaux paysages. Mais alors, si voyager est aussi enrichissant pourquoi y mettre un frein? Et bien, le tourisme de masse à un grand impact sur l’environnement, mais aussi sur la détérioration de monument et structure historique présente depuis des années.

Nous avons choisi de parler du tourisme car il s’agit d’un enjeu actuel dont l’on voit l’impact depuis des années, et qui devrait avoir une grande importance dans la société d’aujourd’hui. Pourtant, nous n’en entendons pas suffisamment parler. De ce fait, nous ne sommes donc pas assez sensibilisés à ce sujet et sur leurs potentiel néfaste sur l’avenir. Ainsi, des petits gestes qui peuvent paraître banals, peuvent avoir un gros impact sur l’avenir de ces patrimoines. Une personne qui touche une sculpture, ne l’endommage pas, par contre, après des millions, on y remarque un changement. Les gestes d’une personne qui sont reproduits des centaines et centaines de fois par jour, amène une dégradation des monuments.

Tout d’abord, nous aimons toutes voyager et en apprendre sur les nouvelles culturelles qui nous entourent. Seulement, le touriste peut s’avérer néfaste pour cette même culture. Nous nous sommes donc donné le défis de trouver une façon de faire tout cela en essayant de diminuer notre empreinte écologique. Cela permettrait de mieux conserver les patrimoines historiques pour les années futures et de pouvoir continuer à en apprendre encore plus longtemps. Ensuite, nous aimerions voyager de la bonne manière sans nuire aux environnements historiques que nous visitons. Détériorer des patrimoines que l’on visite lors des voyages ou excursions, nous faisons cette action sans y prêter attention. Ainsi, chaque année des patrimoines sont détruits dus au tourisme.

Présentement, le tourisme de masse affecte plusieurs endroits et plusieurs cultures. Autant dans les différents continents comme en Asie, en Amérique du sud ou encore en Europe, plusieurs monuments datant de des années sont maintenant en danger. Dans les plus connus, le colisée de Rome, présent depuis l’an 70, à survécu à de nombreuses guerres et tempêtes mais est soudainement en périple à cause du tourisme! Pleins d’autres sont en danger : le Parthénon, la muraille de chine, Stonehenge, les temples Incas, le Taj Mahal, la tour Eiffel, le château de Versailles, la chapelle Sixtine et on en passe. En outre, notre équipe souhaite parler davantage du Machu Picchu et la cité des Inca. Cette merveilleuse cité du Pérou est couramment en train de se détériorer en des temps record. Il peut y avoir jusqu’à 5000 visiteurs par JOUR!

Nous avons plusieurs idées d’expérimentations que l’on pourrait effectuer à notre kiosque lors de notre présentation. Ce que nous aimons de celle-ci est quelles sont interactives alors tout le monde va donc pouvoir y participer et voir les résultats (en version accélérée) des impacts du tourisme de masse. De cette façon, les dangers seront bien plus concrets et l’apprentissage aura un plus grand impact. Comme première expérience, nous voulons utiliser un miroir et demander aux visiteurs de le toucher avec leurs doigts. A la fin du midi nous allons ainsi constater que lorsque plusieurs personnes touchent le miroir, il devient gras et sale. Grâce à cela, nous pourrons montrer que le même processus s’exerce lorsque nous touchons un monument ou des statues, notre empreinte y reste et au fur et à mesure, nous l’endommageons. Comme deuxième expérience, nous allons utiliser un morceau de styromousse où les gens vont marcher tout le midi. Encore une fois, à la fin de midi, il sera affaissé. Nous pourrons donc expliquer que, comme le sol des cités Inca, il s’affaisse dû au grand nombre de touristes qui y passent chaque jour. Finalement, pour notre troisième et dernière expérience, nous allons souffler dans un sac Ziploc de sorte à ce qu’il se forme de la condensation. Cette expérience permettra de montrer que notre émission de dioxyde de carbone crée de l’érosion à l’intérieur même des pyramides qui finissent par se détruire à l’intérieur. Tout cela à cause de notre respiration à l’intérieur d’espaces sans aération.

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