Expérimentation sur les savons

Lors des derniers jours, notre équipe s’est demandé : comment pouvons nous démontrer les impacts écologiques des savons commerciaux et des savons biologiques? Après cette période de réflexion, nous avons enfin trouvé une manière d’expliquer les différences entre les deux types de savon.   Notre expérimentation était de …

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Les savons, rois de l’hygiène et de la destruction de l’environnement! (Conclusions)

Le but de notre projet était de démontrer l’impact, aussi minime qu’il peut être dans certains cas, que le savon peut avoir sur l’environnement. Tout d’abord, pour démontrer cela, il nous fallait une expérimentation. Nous désirions déterminer quels types de savon sont à éviter ainsi que les raisons …

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Les savons, rois de l’hygiène et de la destruction de l’environnement! 

Tous les jours, l’être humain utilise des produits soit- disant bon pour lui sans trop considérer l’impact que ces produits ont sur l’environnement, que ce soit par sa consommation ou par sa création. Vous utilisez inévitablement un de ces produits à chaque jour. Que ce soit après être …

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L’importation alimentaire au Québec : L’Expérimentation et La Conclusion

Un Changement Crucial : Décision Idéale Pour L’Exécution! À la suite de vos idées et commentaires envoyés après la publication de notre article, pour une meilleure continuation de notre projet, nous en sommes venu à la conclusion de s’inspirer de vos propositions et de modifier notre expérimentation. Et …

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L’importation alimentaire au Québec

Pourquoi avoir choisi ce sujet- là? Depuis des années et des années, le Québec, notre belle province, importe des produits venus du monde extérieur visant, en partie, à une augmentation économique. Pourtant, plusieurs Québécois et Québécoises n’ont pas nécessairement la connaissance du voyage qu’effectue une marchandise expédiée directement …

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Des bonbons sans sucre pour sauver la planète!

Lorsque nous pensons aux conséquences environnementales, nous croyons, nous les humains, qu’il est impossible d’aider notre planète. Contrairement à ce que nous pouvons penser, ce sont les petites actions qui peuvent améliorer le sort de notre planète afin de mieux aller. Notre projet consiste à prévenir l’ajout de …

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Conclusion: les chocolats éthiques et non-éthiques

À la suite de nos recherches sur l’industrie du cacao, nous avons procédé à l’élaboration de notre expérimentation. Son but: identifier différentes entreprises de chocolat éthiques et accessibles ici, au Québec. Nous avons pensé que nous pourrions faire des recherches sur les logos des compagnies. En effet, il …

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Expérimentation: le cacao durable

Notre expérimentation avait pour but premier d’identifier les marques de chocolat éthiques et non éthiques. Nous avons pu, grâce à nos recherches, déterminer que les entreprises suivantes (que l’on peut retrouver au Canada) tirent leur cacao de sources durables: Tony’s Chocolonely, Theobroma Chocolat, Chaleur B Chocolat, Chocolats Favoris …

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La face cachée du chocolat

Dans les sociétés occidentales, le chocolat a une réputation qui lui donne assez bonne figure: il aurait des effets réconfortants, des bienfaits pour les sportifs et il pourrait même lutter contre les risques cardiovasculaires. Aujourd’hui, cette gourmandise monopolise nombre de tablettes d’épiceries et est devenue l’emblème de fêtes …

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Le tourisme dans le Saint-Laurent, à quel prix? – Conclusion –

Le thème de notre projet était les croisières aux baleines et leurs impacts sur le fleuve. Ce sujet étant assez vague, nous avons choisi de nous attarder sur les aspects économiques, sociaux et environnementaux seulement pour éviter d’être débordées et d’avoir beaucoup trop de travail.  Nous avons concentré …

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Article deux: les baleines du fleuve Saint-Laurent

Cette année, pour notre projet, nous avons décidé de nous intéresser à l’impact des différents types de bateaux sur les baleines du fleuve Saint-Laurent. Lors de notre expérimentation, nous avons fait des recherches sur les zodiacs ainsi que sur les bateaux de croisière. Nous avons donc pu comparer …

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Le tourisme dans le Saint-Laurent, à quel prix?

L’industrie des croisières fait vivre la région de Tadoussac. Elle est la principale source de revenus d’une grande partie de sa population.  Pourtant, cette activité fluviale nuit aussi grandement aux animaux et aux plantes qui peuplent le fleuve St-Laurent. D’autres embarcations, comme les traversiers et les cargos de …

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Expérimentation fast-fashion : résultats

Notre expérimentation consistait à questionner diverses personnes sur l’origine des vêtements qu’ils portaient cette journée-là. En effet, 20 personnes ont participé à ce sondage. Les résultats obtenus sont les suivants: Pays d’origine Selon ce qu’on a pu observer, la plupart des vêtements provenaient de pays comme la Chine, …

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L’industrie de la mode : les dessous d’une industrie dévastarice!

Depuis le début des années 1990, un phénomène s’intensifie énormément dans le monde des vêtements. Il s’agit de la « fast-fashion », un mouvement de la mode qui repose sur le renouvellement très rapide des collections. Nous avons tous une idée de ce qu’est ce phénomène de mode, mais comment est-il apparu? Quelles en sont les causes et surtout, quelles en sont les conséquences? C’est ce que nous allons aborder au cours de cet article.

Conclusion : Les sécheresses au Québec

Les sécheresses ont plusieurs conséquences environnementales sur notre planète. En effet, elles détruisent les récoltes et affectent les agriculteurs du Québec. Nous avons donc expérimenté une solution réaliste afin de résister aux sécheresses dévastatrices du territoire québécois. Notre expérimentation, une expérience gustative qui consistait à tester deux sortes …

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Les sécheresses : un problème pour les agriculteurs québécois

Depuis des années, plusieurs pays sur la planète doivent vivre avec de terribles sécheresses. Plusieurs Canadiens croient qu’elle ne les touche pas, mais au contraire, nous devons faire face à ces situations qui sont de plus en plus présentes aujourd’hui dû au réchauffement climatique qui prend beaucoup d’ampleur. …

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L’agriculture urbaine: est-ce accessible à tous?

L’agriculture urbaine est pour nous, un sujet méconnu. Habitant tous en ville, nous avons trouvé important de sensibiliser une partie de la population à ce type de culture. À la fois pratique et bon pour l’environnement, l’agriculture urbaine est une bonne activité pour tous à pratiquer en toute …

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Un repas avec des aliments peu ragoûtant est-t-il un bon repas?

Un repas avec des aliments peu ragoûtant est-t-il un bon repas?   Grâce à nos recherches, nous avons découvert que nous jetons énormément d’aliments encore consommables. 63% des aliments jetés sont encore bons. C’est alarmant! De plus, le gaspillage crée des GES. Nous avons donc décidé de créer …

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La fonte des glaciers

Bientôt, l’eau du fleuve Saint-Laurent pourrait être constituée entièrement d’eau salée en raison du mélange des eaux océaniques. Cela est causé par la fonte des glaciers et ceux-ci apportent aussi l’élévation du niveau de l’eau. Plusieurs villes du Québec puisent toujours leur eau potable à partir du fleuve. Ne serait-ce pas important d’arrêter tout ceci pour pouvoir continuer à avoir de l’eau potable au Québec?

Les plantes génétiquement modifiées: une avancée technologique importante à utiliser de manière réfléchie

Les organismes génétiquement modifiés, plus précisément les plantes génétiquement modifiées (PGM), ont été et sont toujours une source de questionnement. En effet, par notre nature craintive face à la nouveauté et l’inconnu, les PGM ont été pendant un long moment au centre de nos préoccupations, de nos discussions. Peuvent-elles modifier notre ADN? Sont-elles nuisibles pour la santé de l’être humain? Mais la question que je me pose est à propos de son impact sur l’environnement:

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L’eau, ON EN PARLE PAS ASSEZ!!!

Pour commencer, nous sommes au courant que plusieurs personnes luttent pour obtenir de l’eau. Au Québec nous avons le privilège d’en avoir en abondance. Toutefois, cette abondance fait parfois oublier à certains l’importance de ne pas gaspiller l’eau. Afin de sensibiliser les élèves de l’école secondaire de Neufchâtel …

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Le soja est-il dommageable pour la planète?

Depuis quelque temps, plusieurs problèmes environnementaux sont abordés. On parle souvent des gaz à effets de serres et autres, mais saviez-vous que la production de soja nécessite énormément d’énergie ? Si nous pouvions remplacer son utilisation dans l’alimentation du bétail et trouver des moyens plus écologiques d’en cultiver, …

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Expérimentations : La mode de seconde main

Notre expérimentation consistait à nous rendre dans une friperie afin d’évaluer la qualité des vêtements et de  déterminer la provenance de ceux-ci. Nous nous sommes aussi entretenues avec la directrice de la friperie.

Pour en savoir plus à propos de notre sujet, nous sommes allées effectuer une entrevue avec Sandra Côté-Guimond à la friperie du Père-Lelièvre. Cette friperie est communautaire,  c’est-à-dire que son but premier est d’aider les gens. Contrairement aux friperies entreprises, comme mentionnées dans leur nom, ce sont des entreprises, donc leur but est de faire de l’argent. Lors de notre entrevue, l’interviewé nous a affirmé qu’ils peuvent donner certaines choses gratuitement pour les gens qui n’ont pas d’argent, tandis qu’une friperie entreprise pourrait le faire, mais elle devra le déduire. Madame Côté-Guimond est directrice générale de l’organisme Solidarité Familles depuis plus d’un an. Lors des trois dernières années, après avoir fondé la communauté de restructuration de la friperie, elle fut coordonnatrice de la friperie. Tout a commencé il y a 10 ans pour elle, alors que le besoin était grandissant. À la question : « Est-ce qu’il y a trop de vêtements donnés ou non achetés? », elle a répondu : « Non, cela nous permet d’être stricts. Comme nous sommes dans un milieu défavorisé, nous voulons donner des vêtements de qualité. Ceux qui sont de moins bonnes qualités sont envoyés à TexFab, qui en feront des guenilles ou bien ils les enverront à d’autres organismes ou même dans d’autres pays. Il n’y a pas trop de vêtements non achetés, car les invendus sont mis en soldes, ce qui donne de l’argent à l’organisme et s’ils ne sont pas vendus, nous les donnons à TexFab. Nous lui avons également demandé quels sont les bienfaits et les inconvénients des friperies. Voici ce qu’elle nous a répondu : « Il y en a beaucoup des bienfaits! On peut trouver des vêtements beaucoup moins chers, ça permet de recycler et de faire des cadeaux aux enfants. Une dame est venue l’autre jour et elle était très contente, j’étais un peu mélangée, je suis allée la voir et et m’a dit que c’était la première fois qu’elle s’est acheté un chandail en 10 ans. Je me rappelle même que le chandail était à 2,75$. Ça permet donc aussi de se gâter. Je dirais aussi que ça empêche l’intimidation puisque si un parent n’a pas d’argent, il n’a pas d’argent pour acheter des vêtements à son enfant, donc l’enfant va porter du vieux linge. Mais s’il vient acheter dans une friperie, les vêtements sont à moindre coût et de bonne qualité. Ça peut aussi aider à se nourrir. On ne vend pas de nourriture, mais on vend de la vaisselle! La revalorisation je dirais aussi. Une fois, je suis allée chez une dame qui avait seulement une télé de la grosseur d’un ordinateur dans son salon. Elle n’avait pas de table, donc elle mangeait sur elle. On lui a donné des bibelots. Juste le fait de décorer son chez- soi un peu, permet de redonner un peu plus de confiance. Je ne vois pas beaucoup d’inconvénients. À part peut-être le fait que les gens, pour se donner bonne conscience, donnent des cochonneries. Une fois, on a eu un miroir cassé et des bobettes sales. Qu’est-ce que tu veux qu’on fasse avec ça? On ne peut pas les vendre.» Sandra affirme que la clientèle a changé ces dernières années. Il n’y a pas juste des gens défavorisés qui viennent. Même les gens qui ont de l’argent osent venir maintenant. Avant, c’était honteux d’aller dans des friperies. Les friperies sont de plus en plus populaires, notamment à cause du fait que le prix de la vie augmente. Elle croit que cela va continuer dans les prochaines années. Les gens prennent plus conscience que donner est bon. Nous lui avons finalement demandé de quelles qualités sont les vêtements qu’ils reçoivent. Elle nous a dit qu’ils reçoivent des vêtements de toutes sortes de qualités. Ils font deux triages pour s’assurer de garder seulement des vêtements de bonne qualité.

Toutefois, les friperies ne sont plus ce qu’elles étaient. En effet, lors de notre visite à la friperie du Père-Lelièvre, nous avons constaté qu’une grande majorité des vêtements provenait de la mode rapide. La plupart ont été fabriqués en Chine, au Bangladesh ou bien dans d’autres pays ateliers. Dans ces pays, les règles environnementales entourant la fabrication de biens vestimentaires sont presque inexistantes. La contamination de l’eau par les produits chimiques utilisés et par des microplastiques est alors présente dans de nombreuses rivières en Asie. Prenons, par exemple, la fabrication d’un jean pour comprendre comment cette industrie pollue. Pour le confectionner, il faut presque 10 000 litres d’eau, des matières naturelles ou synthétiques, de la tenture et des produits chimiques qui sont toxiques et parfois même cancérigènes. En Chine, l’eau de certaines rues est bleue à cause de ces produits dangereux pour la

santé malgré que ceux-ci ne sont pas dangereux lorsque le consommateur porte un vêtement. De plus, le jean doit parcourir des milliers  de kilomètres pour être acheminé en magasin, ce qui demande beaucoup d’essence et donc qui crée des gaz à effet de serre. Bref, pour un seul jean qui va probablement finir dans la poubelle quelque temps après, il y a une grande consommation d’énergie. L’empreinte environnementale est donc énorme. Ensuite, les dons effectués sont de moins bonne qualité que ce qu’ils étaient avant l’apparition de ce phénomène touchant la mode. S’ajoutant à la baisse de qualité, les dons reçus des friperies, ainsi que dans la plupart des organismes charitables, sont devenus trop nombreux. Saviez- vous qu’environ la moitié des biens donnés aux friperies ne seront jamais mis en vente ? En effet, la qualité et le nombre de vêtements reçus empêchent les boutiques de secondes mains de tout mettre les stocks sur leurs tablettes. Pour remédier à ce problème,  plusieurs organismes, pas seulement les friperies, vont tenter d’en faire don, mais une majorité de vêtements va finalement être renvoyée dans des pays en développement. Rendue là-bas, la marchandise est de plus en plus rarement restaurée ou utilisée. Elle peut parfois être transformée en torchon, mais la plupart du temps, les morceaux finissent brulés ou reposent dans un dépotoir à ciel ouvert. Par exemple, au Chili, on retrouve des montagnes de vêtements, ce qui a des impacts sur l’environnement. Les textiles polluent les nappes phréatiques dans la région et polluent l’air, car, lors de leurs décompositions, les vêtements produisent du méthane qui est un gaz à effet de serre encore plus puissant que le CO2. Ainsi, nous pouvons réellement nous rendre compte de l’impact qu’a eu la «fast fashion» sur l’ensemble de la consommation de seconde main.

Il existe deux types de friperies. Lors de notre expérimentation, nous nous étions rendues dans une friperie communautaire. Nous avons pu constater qu’il y avait une nette différence en comparaison aux friperies entreprises. Le but principal des friperies communautaires est d’aider les personnes dans le besoin. Il n’y a alors aucune perte, car tous les invendus sont donnés. Les friperies entreprises ont pour objectif premier de faire de l’argent. Pour eux, leur objectif n’est pas vraiment d’essayer de leur trouver une utilité ou d’en faire profiter quelqu’un d’autre. Parfois, ils vont nous vendre des articles à un prix qui n’est clairement pas représentatif de la qualité. Si des articles ne sont pas vendus, ils seront expédiés dans d’autres pays pour se faire enterrer. Par exemple à Accra, la capitale du Ghana se retrouve débordée par les vêtements que nous donnons. Envoyer nos déchets à l’étranger est moins coûteux sur le plan économique que de les enfouir dans une décharge canadienne. Par contre, sur le plan environnemental et éthique, cette action est impensable. C’est pour ces raisons qu’avant de prendre l’initiative de donner vos vêtements, renseignez- vous sur leur destination. Ce simple geste peut avoir d’énormes impacts pour notre monde de demain.

Les vraies solutions.  Malgré que les friperies soient une solution populaire, il faut contrer le problème à la source afin de faire une réelle différence. Il faut donc commencer par réduire sa consommation en modifiant ses habitudes et en se posant de bonnes questions lorsque l’on veut acheter un vêtement. Par exemple, vous pourriez vous poser la question : avez-vous vraiment besoin de 20 paires de jeans? De cette façon, vous réfléchirez avant d’acheter quelque chose dont vous n’avez pas nécessairement besoin et vous pourriez même réduire vos achats impulsifs. Une autre solution serait d’aller dans des boutiques vintages ou des éco boutiques comme YWCA Québec,  Écoboutique, Triste Vintage. Ces magasins possèdent souvent du linge de meilleure qualité puisqu’avant les vêtements étaient faits avec des tissus de qualité supérieure pour durer longtemps. Les boutiques locales sont aussi une alternative intéressante parce qu’elles permettent de soutenir les compagnies d’ici. Voici quelques exemples d’entreprises :  Baba mode consciente, Kuwalla Tee, Holive, Indyeva, Little Yogi . Enfin, la meilleure solution sera celle que vous adopterez pour aider notre planète et notre environnement.

Pour faire part de nos recherches de manière ludique le 20 février, nous allons créer un jeu participatif avec des questions sur les effets méconnus des friperies. Nous pensons que cela impactera notre public cible de manière positive et les poussera à amener un changement dans leurs habitudes de consommation. Afin d’attirer les gens à venir à notre kiosque, nous allons mettre en place un décor avec un support à vêtements et une grande affiche présentant la question suivante: Les friperies: si écologiques que ça? Cela piquera l’attention des personnes qui passeront et nous permettra de partager notre message à un plus grand nombre de gens.

Pour conclure, ce projet nous a permis de réaliser qu’il existe un vrai problème dans le domaine des friperies, qui impacte énormément notre environnement, qu’il soit à l’échelle locale ou à l’échelle internationale. Nous avons pu trouver des alternatives plus écologiques aux friperies entreprises : les friperies communautaires. Grâce à notre expérimentation, nous avons pris conscience qu’il était important de changer nos habitudes de consommation vestimentaire. Aussi lors de notre kiosque, nous avons constaté que les gens n’étaient pas assez informés de l’ampleur des impacts environnementaux et que la conscientisation sur ce sujet était nécessaire. C’est à vous maintenant d’adopter un changement pour le meilleur!

 

Médiagraphie :

https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/consommation-le-jeans-est-un-des-produits-les-plus-polluants-au-monde_1264025.html 

https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/environnement-environnement-jean-fait-revolution-eco-responsable-87823/ 

https://savoirs.usherbrooke.ca/bitstream/handle/11143/17596/Bastien_Beaudoin_Noemie_MEnv_2020.pdf?sequence=1&isAllowed=y 

https://www.novethic.fr/actualite/environnement/dechets/isr-rse/jeudi-photo-au-chili-des-montagnes-de-vetements-usages-en-plein-desert-150304.html

https://www.ellequebec.com/societe/reportages/les-dessous-de-la-mode-seconde-main 

https://www.femina.ch/societe/actu-societe/les-filieres-du-second-hand-sont-completement-saturees 

 

Protéines végétales: tant sous estimées!

Nous avons tout d’abord choisi ce sujet, car nous avions réalisé que plusieurs personnes ne portent pas assez attention sur les diverses conséquences que l’option des protéines animales ainsi que l’option des protéines végétales engendrent. Bien sûr, nous sommes tous au courant que les protéines animales sont à …

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